Vendeurs de rue à Pattaya (Partie 2)

Par Lodewijk Lagemaat
Publié dans Fond
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27 Février 2018

La semaine dernière, une publication décrivait l'approche des vendeurs de rue dans la municipalité de Pattaya. Bien que les responsables aient fièrement affirmé que leur approche avait réussi, la réalité s'avère être le contraire.

Aussi bien sur la plage de Pattaya que dans les bus touristiques, ces vendeurs réapparaissent dès que les inspecteurs sont hors de vue. Toutes sortes d'articles sont proposés à la vente, des jouets de plage aux vêtements. Bien que certains touristes aient acheté des articles, d'autres vacanciers ont été agacés par l'insistance des vendeurs. Cependant, il reste interdit de procéder de cette manière et en plus de la confiscation de la marchandise, ils peuvent également encourir une amende de 2.000 XNUMX Baht.

La municipalité de Pattaya a demandé aux organisations touristiques et aux propriétaires de bateaux d'avertir les touristes des vendeurs de rue et de leur demander de ne rien acheter.

Dans quelle mesure est-ce un cas de désobéissance civile ou une lutte pour l'existence quotidienne ? Le gouvernement peut tout interdire ou tout limiter, mais il n'offre aucune perspective à ces gens.

Source et photo : Courrier de Pattaya

5 réponses à “Vendeurs de rue à Pattaya (Partie 2)”

  1. franc dit

    Personnellement, je n'ai jamais été TROP dérangé par les vendeurs ambulants sur la plage. Cela en fait juste partie, n'est-ce pas ? Je dois admettre que je n'ai jamais rencontré de colporteurs insistants qui continuent de se plaindre si vous ne voulez rien. Si vous leur parlez et que vous voulez demander, regarder et essayer pendant quelques minutes, eh bien, il est logique qu'ils veuillent vraiment vous dire quelque chose. (Moi aussi. C'est leur pain.

  2. Jacques dit

    Apparemment, le trafic a atteint le même niveau que la prostitution en Thaïlande. Il n'y a pas de perspective pour ces groupes ? Triste de voir cela ou y a-t-il encore d'autres options. Personnellement, je pense que les gens doivent se conformer à la loi et aux réglementations légales, car ils sont là pour une raison. Sinon j'aurais rejoint un gang de motards, comme les 1% outlows. Vous les connaissez les hommes sur les gros vélos, dans ces vestes en cuir résistantes avec ces textes et images sympas à l'arrière, qui sont déjà interdits dans certains pays et qui font tout ce que la loi et Dieu, pour n'en nommer que quelques-uns, a interdit. Étrange que cela ne soit ni toléré en Thaïlande, mais qui sait à l'avenir. Il y a toujours de l'espoir. Nous pourrons toujours profiter de ces colporteurs, car les gens ici sont durs d'apprentissage.

    • Léo Th. dit

      Pourquoi comparez-vous des marchands ambulants qui, pour survivre pour presque rien, proposent leurs marchandises jour et nuit à des membres de certains « gangs de motards », qui d'ailleurs ne peuvent pas tous être regroupés. Et votre référence à la prostitution n'est pas non plus pertinente. Apparemment, vous aimez beaucoup les lois et les règlements, ce qui est votre droit, mais en pratique, beaucoup de règles sont frustrantes pour le citoyen « ordinaire ». Les autorités ont souvent un coup de main dans la promulgation de lois qui leur tiennent particulièrement à cœur et qui remplissent aussi leurs poches. Qu'est-ce qui est réellement contre les vendeurs de rue ? J'entends alors l'argument selon lequel ils ne paieraient pas d'impôts. C'est peut-être vrai, mais les autres Thaïlandais n'ont pas à le faire jusqu'à un certain revenu. (Et de nombreux étrangers avec un revenu beaucoup plus élevé résidant en permanence en Thaïlande essaient également d'éviter toute forme de paiement d'impôt). De plus, les biens à vendre sont de toute façon achetés quelque part, donc la taxe/vad (TVA) est déjà calculée. Je suis tout à fait d'accord avec votre dernière phrase, j'espère qu'ils sont des « apprenants durs » et que nous pourrons profiter encore longtemps de ces vendeurs de rue, qui font preuve d'initiative pour gagner leur assiette de riz quotidienne de manière honnête !

      • Jacques dit

        Je suis un homme de loi. Il est important que nous respections cela, sinon la fin sera perdue. Je n'aime pas non plus les fraudeurs fiscaux. Moi-même, je paie encore une somme considérable à ma patrie bien-aimée. Si seulement il y avait plus de gens comme moi, le monde serait un bien meilleur endroit.
        Que ne pas vouloir rejoindre un gang de motards à 1% s'applique à moi et non à ces colporteurs. Je le déconseille, car le mot outlow (hors la loi) et au moins 1% en disent assez si vous vous cachez derrière. Google la façon dont les membres de ces clubs veulent être abordés ou approchés et leur façon de traiter avec les non-membres de la moto. Ce groupe n'a rien à voir avec la loi et fait ce qu'il veut, il y a donc une ligne à tracer à cet égard. Il y a des dégradés, mais en fait c'est essentiellement humide. Chaque membre d'un tel club se conforme à cette politique. Les colporteurs sont au plus agaçants présents au plus, mais souvent ça ne me dérange pas tant que ça. Je ne nierai pas qu'il y a parfois un double standard entre les autorités, ni que gagner son argent de manière honnête est à applaudir. Mais ne pas se conformer à la loi et afficher un comportement honnête, comment cela est-il lié. Cela semble contredire.

  3. HansG dit

    Prayut veut des minimums pour s'inscrire aux cours, j'ai lu hier sur le blog Thailand. Peut-être quelque chose pour ces gens, M. Prayut ?


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