Les particules sont mortelles pour les personnes de plus de 65 ans et les personnes souffrant de troubles cardiaques, vasculaires ou pulmonaires
Les personnes âgées et les personnes souffrant de troubles cardiaques, vasculaires ou pulmonaires vivent moins longtemps en raison de l'exposition à de fortes concentrations de particules. Des chercheurs américains ont trouvé un lien entre l'exposition à court terme aux particules et la mortalité à court terme. Plus il y a de particules (PM2,5) dans l'air, plus de personnes de plus de 65 ans meurent un jour plus tard.
Question de lecteur : qu'en est-il des particules en Thaïlande et en particulier à Pattaya ?
Les particules fines sont responsables du décès prématuré de 10.000 personnes par an en Belgique. Existe-t-il des données sur la qualité de l'air en Thaïlande et plus précisément à Pattaya ?
Grave pollution de l'air dans 14 provinces thaïlandaises : danger pour l'homme et les animaux
Dans 14 provinces de Thaïlande, l'air est tellement pollué qu'il est dangereux pour la santé humaine et animale. La pollution dépasse largement les limites de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'air est le plus pollué à Chiang Mai, Tak, Khon Kaen, Bangkok et Saraburi.
Comme les années précédentes, le nord de la Thaïlande doit à nouveau faire face au smog. Dans quatre provinces, la concentration de matières particulaires a dépassé de loin le niveau de sécurité pour les humains et les animaux. Bref, un danger pour la santé des riverains.
Nouvelles de Thaïlande – 18 février
Le niveau de poussière dans l'air dépasse la limite de sécurité dans la province de Lampang. Les 13 districts de la province ont été touchés par le brouillard, qui peut entraîner une irritation des yeux et des infections respiratoires. Nok Air a temporairement détourné ses vols de Lampang vers Phitsanulok. La brume est le résultat de la pratique de la culture sur brûlis dans l'agriculture, où les résidus de récolte sont incendiés.
par Hans Bos Sukhumvit, la rue la plus célèbre de Bangkok, possède les endroits les plus poussiéreux de toute la ville. Respirer dans ces endroits pose un risque direct pour la santé. C'est selon une étude de la Bangkok Metropolitan Administration (BMA). Celui-ci teste des lieux fixes dans la ville trois fois par an pendant 24 heures. Dans de nombreux endroits, on parle de 300 mpcm (million de particules par mètre cube), alors que la limite est de 120 mpcm. A la croisée des chemins…